Accidents industriels
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Accidents industriels
Salut !
Retour sur AZF :
Deux thèses s'affrontent pour expliquer la catastrophe d'AZF : celle, officielle, qui privilégie la piste de l'accident dû à la manipulation fortuite d’un sac de chlore sur un tas d’ammonitrates, sur le site d'AZF et celle, concurrente, mais bottée en touche, de l'attentat islamiste. Pourtant une autre thèse, très discrète et peu médiatisée, semble exister : celle d'un accident impliquant le site de la SNPE (Société nationale des poudres et explosifs).
La piste qui suit ne prétend, en aucune façon, être un éclaircissement absolu et définitif du problème, ni la vérité révélée. Disons que c'est juste une nouvelle approche, plutôt pertinente ; jugez en plutôt.
Le contexte : le 21/09/2001, à 11h17, soit 10 jours après les attentats islamistes de New-York (11 septembre 2001), probablement en partie commandités par une fraction dissidente des services secrets pakistanais (l'ISI), l'usine AZF de Toulouse était l'objet d'une violente explosion qui causa la mort de 30 personnes (en fait il y a polémique sur ce chiffre ; certains l'estimant supérieur) et qui fit un millier de blessés.
10 minutes après les évènements et, donc, sans que la moindre enquête préalable n'ait eut lieu, la préfecture affirmait que l'explosion ne pouvait, en aucun cas, être liée à un attentat. Une heure après l'accident, France Info affirmait, elle aussi, qu'il s'agissait d'un accident. Bref, la thèse de l'attentat fut tout de suite soulevée, mais officiellement mise de côté, puis écartée, puis officieusement déterrée (voir l'affaire Hassan Jandoubi), etc.
Ainsi, très vite, deux thèses furent évoquées et médiatisées ; l'une officiellement, l'autre de manière plus ou moins détournée. On avait une thèse et une contre thèse et toutes deux s'appuyaient sur divers éléments à charge. Toutes deux impliquaient directement le site d'AZF.
Je ne vais pas trop m'attarder sur la thèse officielle, celle de l'accident dont la responsabilité incomberait à AZF, soutenue quasi unanimement par les médias et les pouvoirs publics et qui, malgré une chaine d'incohérences et de négligences ahurissantes (je vous renvoie aux liens donnés en source), dénoncée par nombre d'experts indépendants et de témoins directs des évènements, devint la thèse officielle.
Points faibles de cette thèse : un procès bâclé ; des témoins écartés ; deux expertises médicales (examens des corps de Hassan Jandoubi et de Abder T) disparues du dossier d'instruction et plusieurs irrégularités lors de l'examen des corps ; des expertises contradictoires ; un dossier se polarisant sur la négligence industrielle (dès le début) ; des psychologues et des psychiatres chargés d'influencer les témoignages, sous couvert de l'influence traumatique ; l'utilisation du 221 pour amorcer l'explosion, alors qu'il y avait, sur le site, des éléments bien plus explosifs (wagons de chlore, phosgène, etc) ; des politiques et des médias qui affirment, sans enquête préalable et, donc, sans preuves (arbitrairement), qu'il ne peut pas s'agir d'un attentat. Chirac : « je ne veux pas entendre parler d’attentat. » Guy Bréard, procureur de Toulouse (24 Septembre 2001) « il y avait 99% de chances que ce soit un accident » (pourtant il n'y eut jamais aucune mise en examen et aucune revendication retenue).
« Le nitrate d'ammonium ne peut pas exploser sans l'apport d'une quantité d'énergie importante » (Christian Michot, directeur de la certification à l'Institut national de l'environnement industriel et des risques (Ineris)). « D'un point de vue de chimiste, c'est un produit normalement stable. Cet oxydant très fort est cependant classé comme très réactif et peut exploser sous certaines conditions. La condition sine qua non est la présence d'une grosse source d'énergie » (Brigitte Diers, directrice de l'unité de prévention du risque chimique au CNRS). Etc.
La piste de l'attentat islamiste :
« L’attentat » aurait été revendiqué, selon des sources officielles, par plusieurs groupes terroristes totalement inconnus et qui ne feront plus jamais parler d'eux : « Es Seyf al islami » (« le sabre de l’islam »), « Houarla, Houarla, Islami » et « Alpha Bravo ». Il est courant que des rigolos, ou des groupes terroristes, profitent de tels évènements pour s'en approprier, systématiquement, la paternité (on a quand même 3 prétendants pour un seul événement). Le fait que ces groupes n'aient jamais fait parler d'eux, avant ou après l'accident, fait penser qu'il s'agissait d'un canular, d'une appropriation crapuleuse, ou d'une manipulation orchestrée.
Un rapport d’enquête, réputé confidentiel (peut être une fuite volontaire.. sacrés barbouzes), issu des Renseignements généraux, que reprendra « Valeurs actuelles » (suivi du Figaro), lancera la rumeur : Hassan Jandoubi , un musulman jugé (puis innocenté) comme étant un ancien proxénète, voleur et violeur, proche des milieux intégristes et de la jouvence jihadiste afghane, retrouvé mort sur les lieux de l'explosion (à une quarantaine de mètres du cratère), assez propre sur lui (corps épilé et habits neufs), contrairement aux autres corps découverts près de lui, revêtu de plusieurs caleçons (5) et couvert de brulures (peut être lié à une électrocution) et de lésions résultantes d’un blast-syndrome lié à l’explosion, serait l'auteur de « l'attentat » (« Le légiste constate qu’il porte cinq couches de sous-vêtements… comme pour imiter certains kamikazes islamistes qui protègent ainsi symboliquement leur sexe pour profiter des vierges censées les accueillir au paradis », via le Larousse). Deux autres employées d'AZF (Abder T et Sénouci El Béchir) seront, eux aussi, accusés, sous prétexte fallacieux, puis disculpés. Toutefois, le corps d' Hassan Jandoubi n'a pas été mutilé par l'explosion, mais brulé (tout comme d'autres victimes proches du cratère de l'explosion). Cela suppose donc que Jandoubi a été tué à une certaine distance de l'explosion, ou bien que son corps a été déplacé post-mortem (et, peut être, préparé).
Nombre de témoins affirment qu'il y a eut deux explosions et non une seule (et les psys ont convaincus certains témoins qu'ils n'avaient pas entendu deux, mais une seule explosion). Jean-Marie Arnaudies, professeur de mathématiques en classes préparatoires du Lycée Pierre de Fermat de Toulouse, a remis au juge d'instruction Perriquet un mémoire (« Certitudes sur la catastrophe de Toulouse »), dans lequel plusieurs dizaines de témoignages font état de deux explosions. Certaines personnes ont vus un panache de fumée s'élevant au dessus de la SNPE. D'autres auraient entendus un sifflement avant l'explosion. Des analyses effectuées par certains experts indépendants infirment les rapports de sismologie de l'OMP de Toulouse prétextant qu'il n'y a eut qu'un seul impact et contestent la version qui induit qu'il y ait eut un risque explosif réel concernant le tas de nitrate d’ammonium incriminé dans le déclenchement de la catastrophe. Etc.
Avant d'aller plus loin il faut savoir que le travail de la DST c'est , entre autre, de désinformer ; comme nous avons pu le constater lors du sabotage, au combien « pittoresque » (qui couta la vie à un photographe portugais) du Raimbow-Warrior, ou bien dans l'affaire de l'attentat de la synagogue de Djerba (Tunisie), qui fut, pendant 3 semaines, décrit comme relevant d'un simple accident.
Voir : Toulouse : le doute persiste (le Figaro du 28 Septembre 2001)
Point faible de cette thèse : le corps d'Hassan Jandoubi était intact, chose improbable dans le cas où il aurait été proche de l'explosion. AZF n'était pas une cible aussi séduisante qu'aurait pu l'être la SNPE mitoyenne. Toulouse n'est pas une cible de choix, car la ville demeure moins symbolique que Paris (voir les précédents : Airbus de Marignane, attentats du métro parisien, tentative d'attentat déjouée sur la tour Eiffel, etc). Il n'y a jamais eut de fuites de la part des services étrangers faisant référence à d'éventuelles revendications, ou implications, islamistes sérieuses. Les groupes qui auraient revendiqués « l'attentat » n'ont jamais fait parler d'eux, avant ou après l'accident (apparemment ils n'existent pas). On pourrait supposer que « l'attentat » fut à mettre sur le dos d'autres groupes terroristes, mais, dans ce cas, pourquoi ne pas l'avoir revendiqué ? Le but des attentats c'est de faire parler de soit, de terroriser, de revendiquer, ou de mettre en garde.
Pour d'autres ce n'était pas « AZF » qui était visé, mais la « SNPE » ; un site classé défense nationale (donc secret défense), gardé par la DST (chargée du contre espionnage et de la surveillance des industries et des sites sensibles), qui fabriquait les propergols alimentant les missiles nucléaires embarqués dans les sous-marins français (le missile M51 et le prototype du missile M2) et les moteurs de la fusée Ariane. Un missile (ou une roquette) aurait pût être tiré depuis la cité du Mirail (toute proche) et manquer sa cible, à cause du vent d'autan imprévisible et atteindre AZF, mitoyen de la SNPE. A noter que si la poudrerie de la SNPE avait été touchée par un missile, l'accident aurait été incommensurablement plus grave.
Point faible de cette thèse : acheter et utiliser un missile, ou du matériel hightech, n'est pas à la portée du premier venu et, dans ce cas, comment expliquer la présence d'Hassan Jandoubi (et de ses 5 caleçons) sur le lieu de l'impact ? Il n'y a eut aucune fuites, ou revendications, relatant qu'il y ait eut des implications islamistes dans l'accident.
Enfin, troisième thèse qui, justement, implique l'instrumentalisation des deux précédentes thèses, sous la forme de leurres, au sein d'une grosse opération d'enfumage de la DST, afin de mieux écarter, peut être, la responsabilité de la SNPE dans l'accident et de préserver, ainsi, certains intérêts stratégiques et de sauver certaines carrières (ministres, présidentiables, etc : responsables... mais pas coupables).
Selon cette thèse, l'explosion aurait bien été produite par un malencontreux accident, mais sa source originelle ne proviendrait pas d'AZF, mais de la SNPE ; peut être suite à la fuite d'un gaz extrêmement explosif : l'UDMH.
Nous étions10 jours après les attentats de New-York et les barbouzes françaises étaient en éveil, d'autant plus en éveil que les services ricains de la CIA les avaient semble-t-il avertis, depuis peu, que des sites sensibles français pourraient être la cible d'actes terroristes. La SNPE fut, dès lors, placée sous plan vigipirate renforcé (révélations du journal suisse « Le Matin ») et les barbouzes stationnées dans l'enceinte de la SNPE se préparaient donc à l'éventualité d'une attaque terroriste et multipliaient, probablement, les simulations d'exercice. L'incident éclata peut être lors de l'une de ces simulations, ou bien lors d'une opération d'entretien (voir plus bas) ; causant ainsi une chaine d'évènements qui se serait propagée, via des câbles, des canalisations, ou le réseau de tunnels sur lequel est bâtit le site (héritage de la dernière guerre), jusqu'à AZF. Certains témoins parlent d'une première explosion souterraine (donc via les tunnels de la SNPE).
Selon Jean-Marie Arnaudies, voici la chronologie de l'accident :
Le site de fabrication de l'UDMH était en arrêt pour cause de maintenance le jour de l'explosion et environ 17 tonnes d'UDMH étaient stockées sur place.
Ce jour là, le vent d'Autan soufflait à 30 km/h, de la SNPE vers la tour de prilling des nitrates et le hangar 221 de l'usine AZF.
On en vient à un nouveau scénario possible :
Autre chose : Chirac était président de la république et Jospin son premier ministre ; c'était la cohabitation et nous étions à presque un an de la présidentielle de 2002. UMP et PS se trouvaient donc dans la même barque (dilemme : fallait-il révéler l'affaire, ou l'étouffer).
Les USA venaient de subir les attentats les plus spectaculaires, sanguinaires et médiatisés de l'histoire ; pour l'opinion publique française, la thèse de l'attentat terroriste islamiste paraissait donc logique. Il y existait donc une opportunité pour orienter les suspicions éventuelles (la thèse de l'accident impliquant AZF étant plutôt bancale) vers une thèse alternative qui puisse être séduisante (médiatiquement parlant), mais qui épargne toutefois la SNPE.
Le principe est bien connu et rodé : pour tuer une idée il faut éviter d'en parler (cela lui fait de la pub), ou bien l'isoler, loin du regard, derrière un dérivatif puissant, qui monopolise toute l'attention. En magie on appel ce tour « le prestige » : on capte l'attention du public sur un élément précis du décors, par quelque mise en scène spectaculaire, pendant que l'on effectue, en douce et à l'abri des regards, l'acte même de la manipulation.
Selon un sondage CSA-Toulouse Mag (2002), 65% des toulousains penseraient qu'un attentat fut la cause de la catastrophe.
Quoiqu'il en soit, attentat ou accident, AZF fut et demeure le centre unique de toute l'attention... malgré la diversité des témoignages impliquant la SNPE.
Total, en tant que propriétaire d'AZF et société d'état, pouvait supporter sans trop de mal le rôle de bouc-émissaire (lampiste).
Points faibles de cette thèse : comment Hassan Jandoubi (enfin son cadavre) s'est-il retrouvé impliqué là dedans ? A-t-il été récupéré sur le site d'AZF, puis « mis en scène » afin d'assurer le rôle de kamikaze d'opérette ? Que faire du témoignage de Ben Driss affirmant avoir entendu que quelqu'un affirmait qu'Hassan Jandoubi aurait dit, la veille de l'incident : « On va tous vous faire exploser et vous massacrer » ? Qu'est-ce qui a bien pu se passer sur le site de la SNPE, pour créer les causes propices à l'explosion d'AZF (un accident lié à une opération d'entretien qui tourne mal, via l’UDMH) ?
Dans tous les cas deux thèses principales (accident d'AZF et attentat islamiste) s'affrontent et éclipsent toute autre thèse : la troisième voie, celle impliquant la SNPE, demeurant (médiatiquement) quasiment invisible.
PS :
Chirac et Jospin qui étaient cités comme témoins ont refusé de comparaître, affirmant ne rien avoir à dire et à apporter sur le sujet (lol !)
11 des 13 lampistes, membres du personnel d'AZF, qui ont servis de fusibles, ont obtenus des non-lieux, tandis qu' il a été mis fin à la procédure qui visait l'employé du site Total Grande Paroisse suspecté d'avoir été à l'origine du mélange détonnant qui aurait causé la catastrophe.
Le magistrat instructeur (Thierry Perriquet) chargé du procès lié à l'accident a été nommé (promu) à Monaco, une fois que son travail fut bouclé ; une promotion exceptionnelle pour un petit juge instructeur sans grande envergure.
Retour sur AZF :
Deux thèses s'affrontent pour expliquer la catastrophe d'AZF : celle, officielle, qui privilégie la piste de l'accident dû à la manipulation fortuite d’un sac de chlore sur un tas d’ammonitrates, sur le site d'AZF et celle, concurrente, mais bottée en touche, de l'attentat islamiste. Pourtant une autre thèse, très discrète et peu médiatisée, semble exister : celle d'un accident impliquant le site de la SNPE (Société nationale des poudres et explosifs).
La piste qui suit ne prétend, en aucune façon, être un éclaircissement absolu et définitif du problème, ni la vérité révélée. Disons que c'est juste une nouvelle approche, plutôt pertinente ; jugez en plutôt.
Le contexte : le 21/09/2001, à 11h17, soit 10 jours après les attentats islamistes de New-York (11 septembre 2001), probablement en partie commandités par une fraction dissidente des services secrets pakistanais (l'ISI), l'usine AZF de Toulouse était l'objet d'une violente explosion qui causa la mort de 30 personnes (en fait il y a polémique sur ce chiffre ; certains l'estimant supérieur) et qui fit un millier de blessés.
10 minutes après les évènements et, donc, sans que la moindre enquête préalable n'ait eut lieu, la préfecture affirmait que l'explosion ne pouvait, en aucun cas, être liée à un attentat. Une heure après l'accident, France Info affirmait, elle aussi, qu'il s'agissait d'un accident. Bref, la thèse de l'attentat fut tout de suite soulevée, mais officiellement mise de côté, puis écartée, puis officieusement déterrée (voir l'affaire Hassan Jandoubi), etc.
Ainsi, très vite, deux thèses furent évoquées et médiatisées ; l'une officiellement, l'autre de manière plus ou moins détournée. On avait une thèse et une contre thèse et toutes deux s'appuyaient sur divers éléments à charge. Toutes deux impliquaient directement le site d'AZF.
Je ne vais pas trop m'attarder sur la thèse officielle, celle de l'accident dont la responsabilité incomberait à AZF, soutenue quasi unanimement par les médias et les pouvoirs publics et qui, malgré une chaine d'incohérences et de négligences ahurissantes (je vous renvoie aux liens donnés en source), dénoncée par nombre d'experts indépendants et de témoins directs des évènements, devint la thèse officielle.
Points faibles de cette thèse : un procès bâclé ; des témoins écartés ; deux expertises médicales (examens des corps de Hassan Jandoubi et de Abder T) disparues du dossier d'instruction et plusieurs irrégularités lors de l'examen des corps ; des expertises contradictoires ; un dossier se polarisant sur la négligence industrielle (dès le début) ; des psychologues et des psychiatres chargés d'influencer les témoignages, sous couvert de l'influence traumatique ; l'utilisation du 221 pour amorcer l'explosion, alors qu'il y avait, sur le site, des éléments bien plus explosifs (wagons de chlore, phosgène, etc) ; des politiques et des médias qui affirment, sans enquête préalable et, donc, sans preuves (arbitrairement), qu'il ne peut pas s'agir d'un attentat. Chirac : « je ne veux pas entendre parler d’attentat. » Guy Bréard, procureur de Toulouse (24 Septembre 2001) « il y avait 99% de chances que ce soit un accident » (pourtant il n'y eut jamais aucune mise en examen et aucune revendication retenue).
« Le nitrate d'ammonium ne peut pas exploser sans l'apport d'une quantité d'énergie importante » (Christian Michot, directeur de la certification à l'Institut national de l'environnement industriel et des risques (Ineris)). « D'un point de vue de chimiste, c'est un produit normalement stable. Cet oxydant très fort est cependant classé comme très réactif et peut exploser sous certaines conditions. La condition sine qua non est la présence d'une grosse source d'énergie » (Brigitte Diers, directrice de l'unité de prévention du risque chimique au CNRS). Etc.
La piste de l'attentat islamiste :
« L’attentat » aurait été revendiqué, selon des sources officielles, par plusieurs groupes terroristes totalement inconnus et qui ne feront plus jamais parler d'eux : « Es Seyf al islami » (« le sabre de l’islam »), « Houarla, Houarla, Islami » et « Alpha Bravo ». Il est courant que des rigolos, ou des groupes terroristes, profitent de tels évènements pour s'en approprier, systématiquement, la paternité (on a quand même 3 prétendants pour un seul événement). Le fait que ces groupes n'aient jamais fait parler d'eux, avant ou après l'accident, fait penser qu'il s'agissait d'un canular, d'une appropriation crapuleuse, ou d'une manipulation orchestrée.
Un rapport d’enquête, réputé confidentiel (peut être une fuite volontaire.. sacrés barbouzes), issu des Renseignements généraux, que reprendra « Valeurs actuelles » (suivi du Figaro), lancera la rumeur : Hassan Jandoubi , un musulman jugé (puis innocenté) comme étant un ancien proxénète, voleur et violeur, proche des milieux intégristes et de la jouvence jihadiste afghane, retrouvé mort sur les lieux de l'explosion (à une quarantaine de mètres du cratère), assez propre sur lui (corps épilé et habits neufs), contrairement aux autres corps découverts près de lui, revêtu de plusieurs caleçons (5) et couvert de brulures (peut être lié à une électrocution) et de lésions résultantes d’un blast-syndrome lié à l’explosion, serait l'auteur de « l'attentat » (« Le légiste constate qu’il porte cinq couches de sous-vêtements… comme pour imiter certains kamikazes islamistes qui protègent ainsi symboliquement leur sexe pour profiter des vierges censées les accueillir au paradis », via le Larousse). Deux autres employées d'AZF (Abder T et Sénouci El Béchir) seront, eux aussi, accusés, sous prétexte fallacieux, puis disculpés. Toutefois, le corps d' Hassan Jandoubi n'a pas été mutilé par l'explosion, mais brulé (tout comme d'autres victimes proches du cratère de l'explosion). Cela suppose donc que Jandoubi a été tué à une certaine distance de l'explosion, ou bien que son corps a été déplacé post-mortem (et, peut être, préparé).
Nombre de témoins affirment qu'il y a eut deux explosions et non une seule (et les psys ont convaincus certains témoins qu'ils n'avaient pas entendu deux, mais une seule explosion). Jean-Marie Arnaudies, professeur de mathématiques en classes préparatoires du Lycée Pierre de Fermat de Toulouse, a remis au juge d'instruction Perriquet un mémoire (« Certitudes sur la catastrophe de Toulouse »), dans lequel plusieurs dizaines de témoignages font état de deux explosions. Certaines personnes ont vus un panache de fumée s'élevant au dessus de la SNPE. D'autres auraient entendus un sifflement avant l'explosion. Des analyses effectuées par certains experts indépendants infirment les rapports de sismologie de l'OMP de Toulouse prétextant qu'il n'y a eut qu'un seul impact et contestent la version qui induit qu'il y ait eut un risque explosif réel concernant le tas de nitrate d’ammonium incriminé dans le déclenchement de la catastrophe. Etc.
Avant d'aller plus loin il faut savoir que le travail de la DST c'est , entre autre, de désinformer ; comme nous avons pu le constater lors du sabotage, au combien « pittoresque » (qui couta la vie à un photographe portugais) du Raimbow-Warrior, ou bien dans l'affaire de l'attentat de la synagogue de Djerba (Tunisie), qui fut, pendant 3 semaines, décrit comme relevant d'un simple accident.
Voir : Toulouse : le doute persiste (le Figaro du 28 Septembre 2001)
Point faible de cette thèse : le corps d'Hassan Jandoubi était intact, chose improbable dans le cas où il aurait été proche de l'explosion. AZF n'était pas une cible aussi séduisante qu'aurait pu l'être la SNPE mitoyenne. Toulouse n'est pas une cible de choix, car la ville demeure moins symbolique que Paris (voir les précédents : Airbus de Marignane, attentats du métro parisien, tentative d'attentat déjouée sur la tour Eiffel, etc). Il n'y a jamais eut de fuites de la part des services étrangers faisant référence à d'éventuelles revendications, ou implications, islamistes sérieuses. Les groupes qui auraient revendiqués « l'attentat » n'ont jamais fait parler d'eux, avant ou après l'accident (apparemment ils n'existent pas). On pourrait supposer que « l'attentat » fut à mettre sur le dos d'autres groupes terroristes, mais, dans ce cas, pourquoi ne pas l'avoir revendiqué ? Le but des attentats c'est de faire parler de soit, de terroriser, de revendiquer, ou de mettre en garde.
Pour d'autres ce n'était pas « AZF » qui était visé, mais la « SNPE » ; un site classé défense nationale (donc secret défense), gardé par la DST (chargée du contre espionnage et de la surveillance des industries et des sites sensibles), qui fabriquait les propergols alimentant les missiles nucléaires embarqués dans les sous-marins français (le missile M51 et le prototype du missile M2) et les moteurs de la fusée Ariane. Un missile (ou une roquette) aurait pût être tiré depuis la cité du Mirail (toute proche) et manquer sa cible, à cause du vent d'autan imprévisible et atteindre AZF, mitoyen de la SNPE. A noter que si la poudrerie de la SNPE avait été touchée par un missile, l'accident aurait été incommensurablement plus grave.
Point faible de cette thèse : acheter et utiliser un missile, ou du matériel hightech, n'est pas à la portée du premier venu et, dans ce cas, comment expliquer la présence d'Hassan Jandoubi (et de ses 5 caleçons) sur le lieu de l'impact ? Il n'y a eut aucune fuites, ou revendications, relatant qu'il y ait eut des implications islamistes dans l'accident.
Enfin, troisième thèse qui, justement, implique l'instrumentalisation des deux précédentes thèses, sous la forme de leurres, au sein d'une grosse opération d'enfumage de la DST, afin de mieux écarter, peut être, la responsabilité de la SNPE dans l'accident et de préserver, ainsi, certains intérêts stratégiques et de sauver certaines carrières (ministres, présidentiables, etc : responsables... mais pas coupables).
Selon cette thèse, l'explosion aurait bien été produite par un malencontreux accident, mais sa source originelle ne proviendrait pas d'AZF, mais de la SNPE ; peut être suite à la fuite d'un gaz extrêmement explosif : l'UDMH.
Nous étions10 jours après les attentats de New-York et les barbouzes françaises étaient en éveil, d'autant plus en éveil que les services ricains de la CIA les avaient semble-t-il avertis, depuis peu, que des sites sensibles français pourraient être la cible d'actes terroristes. La SNPE fut, dès lors, placée sous plan vigipirate renforcé (révélations du journal suisse « Le Matin ») et les barbouzes stationnées dans l'enceinte de la SNPE se préparaient donc à l'éventualité d'une attaque terroriste et multipliaient, probablement, les simulations d'exercice. L'incident éclata peut être lors de l'une de ces simulations, ou bien lors d'une opération d'entretien (voir plus bas) ; causant ainsi une chaine d'évènements qui se serait propagée, via des câbles, des canalisations, ou le réseau de tunnels sur lequel est bâtit le site (héritage de la dernière guerre), jusqu'à AZF. Certains témoins parlent d'une première explosion souterraine (donc via les tunnels de la SNPE).
Selon Jean-Marie Arnaudies, voici la chronologie de l'accident :
Notez que la zone sur laquelle est construite la SNPE est un « cimetière » de vieilles munitions datant de 39-45 et qu'elle pourrait être régulièrement saturée d'émanations gazeuses ; notamment l'UDMH, qui est fabriqué par la SNPE, du fait qu'il est massivement manipulé sur place. Le mélange nitrate d’ammonium-UDMH constitue l’astrolite (BLU-73), qui est l'explosif conventionnel le plus puissant qui soit.10h 17min 47 sec : au moins un éclair rectiligne ; 10h 17min 56,5 sec : éclairs, explosion 1, formation nuageuse, etc.… ; 10h 18min 01 sec : formation d'une immense colonne gazeuse bleue ; 10h 18min 05 sec : explosion du hangar 221 d'AZF.
Le site de fabrication de l'UDMH était en arrêt pour cause de maintenance le jour de l'explosion et environ 17 tonnes d'UDMH étaient stockées sur place.
Ce jour là, le vent d'Autan soufflait à 30 km/h, de la SNPE vers la tour de prilling des nitrates et le hangar 221 de l'usine AZF.
On en vient à un nouveau scénario possible :
La SNPE ne possédait pas de site de remplacement pour assurer la continuité de la production du propergol et il était impossible d'en construire un en quelques années seulement (un nouveau site a été construit, depuis, près de Bordeaux). La poursuite des activités, sur ce site, était donc vitale pour la défense nationale et pour le maintien des missions Ariane. Vous imaginez le casus belli : avouer la responsabilité de la SNPE et risquer sa fermeture, donc un blocage de deux points névralgiques de la défense et de notre industrie, pendant des années, ou bien sauver la SNPE, malgré ses responsabilités dans l'accident d'AZF et les risques qu'impliquaient son maintien à la périphérie de la ville. Pour sauver la SNPE, il fallait peut être donner un autre os à ronger à l'opinion publique et aux médias ; qui n'auraient probablement pas vu d'un œil bienveillant le fait que la SNPE s'en sorte à si bon compte et qu'elle reste à demeure, à la périphérie de Toulouse.Un employé de la SNPE a récemment informé que l’atelier UDMH ne fonctionnait pas, le 21 septembre 2001, jour de la catastrophe. Une grande quantité de ce produit, destinée à la fusée Ariane 4, a été évacuée, sous contrôle de la préfecture, dans les 48 heures ayant suivi la catastrophe.
Plus préoccupant, le journaliste de Valeurs Actuelles a également découvert que le mélange nitrate d’ammonium-UDMH est la base de l’astrolite (BLU-73), selon la classification de l’armée américaine, l’explosif conventionnel le plus puissant qui soit. Ces nouveaux éléments et l'analyse des faits permettent au journaliste - après maintes et maintes recherches et validations scientifiques - d'élaborer un nouveau scénario, que je vous livre ici.
"Lors des opérations d’entretien dans l’atelier de la SNPE, de l’UDMH se répand dans une partie du pôle chimique, sur le sol et dans les égouts et forme des poches. Une première explosion - dont l’origine est toujours un mystère - se produit sur le site voisin de la SNPE. Le gaz a pu alors rencontrer un poste électrique ou un point chaud, enclenchant le fameux "effet dominos" . La "flamme" de l’explosion initiale descend le cours de la fuite et atteint, quelques secondes plus tard la base de la "tour verte" d’AZF, dotée, au niveau du sol, de deux ventaux alimentant une colonne d’air ascendante.
La tour est donc une sorte d’aspirateur géant dans lequel se mélangent, ce matin du 21 septembre, l’air aspiré et l’UDMH. En montant, ce mélange va à la rencontre du nitrate fondu et chaud, sur le point d’être transformé en granulés. L’air, ensuite, est normalement évacué à l’extérieur par deux puissants ventilateurs, au sommet de la tour, mais ce jour-là il pouvait très bien contenir de l’UDMH. Cet "assemblage incompatible", air-nitrate chaud-UDMH, qui monte dans la colonne d’air, finit par détoner en provoquant le décollage du sommet de la tour. Au même instant, ce qui est évacué dans l’atmosphère par les ventilateurs réagit lui aussi et produit l’effet de flash ; autrement dit, ce même éclair dont des témoins ont cru qu’il avait frappé la tour alors qu’il a pu partir de celle-ci.
À proximité, se trouve le hangar 221 d’AZF, dont le sas ouvert, face à la SNPE, sous le vent, s’est lui aussi plus ou moins saturé de vapeurs d’UDMH, rendant très instable une partie des nitrates qui ont pu être amorcés par l’explosion de la tour. Le fait est que si les nappes d’UDMH ont réagi, le phénomène pouvait alors se propager dans une réaction en chaîne."
Autre chose : Chirac était président de la république et Jospin son premier ministre ; c'était la cohabitation et nous étions à presque un an de la présidentielle de 2002. UMP et PS se trouvaient donc dans la même barque (dilemme : fallait-il révéler l'affaire, ou l'étouffer).
Les USA venaient de subir les attentats les plus spectaculaires, sanguinaires et médiatisés de l'histoire ; pour l'opinion publique française, la thèse de l'attentat terroriste islamiste paraissait donc logique. Il y existait donc une opportunité pour orienter les suspicions éventuelles (la thèse de l'accident impliquant AZF étant plutôt bancale) vers une thèse alternative qui puisse être séduisante (médiatiquement parlant), mais qui épargne toutefois la SNPE.
Le principe est bien connu et rodé : pour tuer une idée il faut éviter d'en parler (cela lui fait de la pub), ou bien l'isoler, loin du regard, derrière un dérivatif puissant, qui monopolise toute l'attention. En magie on appel ce tour « le prestige » : on capte l'attention du public sur un élément précis du décors, par quelque mise en scène spectaculaire, pendant que l'on effectue, en douce et à l'abri des regards, l'acte même de la manipulation.
Selon un sondage CSA-Toulouse Mag (2002), 65% des toulousains penseraient qu'un attentat fut la cause de la catastrophe.
Quoiqu'il en soit, attentat ou accident, AZF fut et demeure le centre unique de toute l'attention... malgré la diversité des témoignages impliquant la SNPE.
Total, en tant que propriétaire d'AZF et société d'état, pouvait supporter sans trop de mal le rôle de bouc-émissaire (lampiste).
Points faibles de cette thèse : comment Hassan Jandoubi (enfin son cadavre) s'est-il retrouvé impliqué là dedans ? A-t-il été récupéré sur le site d'AZF, puis « mis en scène » afin d'assurer le rôle de kamikaze d'opérette ? Que faire du témoignage de Ben Driss affirmant avoir entendu que quelqu'un affirmait qu'Hassan Jandoubi aurait dit, la veille de l'incident : « On va tous vous faire exploser et vous massacrer » ? Qu'est-ce qui a bien pu se passer sur le site de la SNPE, pour créer les causes propices à l'explosion d'AZF (un accident lié à une opération d'entretien qui tourne mal, via l’UDMH) ?
Dans tous les cas deux thèses principales (accident d'AZF et attentat islamiste) s'affrontent et éclipsent toute autre thèse : la troisième voie, celle impliquant la SNPE, demeurant (médiatiquement) quasiment invisible.
PS :
Chirac et Jospin qui étaient cités comme témoins ont refusé de comparaître, affirmant ne rien avoir à dire et à apporter sur le sujet (lol !)
11 des 13 lampistes, membres du personnel d'AZF, qui ont servis de fusibles, ont obtenus des non-lieux, tandis qu' il a été mis fin à la procédure qui visait l'employé du site Total Grande Paroisse suspecté d'avoir été à l'origine du mélange détonnant qui aurait causé la catastrophe.
Le magistrat instructeur (Thierry Perriquet) chargé du procès lié à l'accident a été nommé (promu) à Monaco, une fois que son travail fut bouclé ; une promotion exceptionnelle pour un petit juge instructeur sans grande envergure.
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Aussi audacieux soit-il d'explorer l'inconnu, il l'est plus encore de remettre le connu en question ! (Kaspar) - In Shadow, A Modern Odyssey - Ozymandias - La grande implosion/Rapport sur l'effondrement de l'Occident (Pierre Thuillier) - Mon scénario - Echoes
Re: Accidents industriels
Sources diverses :
AZF : Total ou SNPE ?
AZF-SNPE : Désormais Perben n’exclut plus rien… http://toulouse.azf.free.fr/articles/1389.html
Selon « Valeurs Actuelles », l’explosion du 21 septembre 2001 aurait pu être provoquée par un gaz (peut être un dérivé de l’hydrazine, l'UDMH) ; en témoignerait divers témoignages faisant état d’odeurs d’ammoniaque et de « poisson pourri », venant de la SNPE, l’usine voisine d’AZF.
Explosion Toulouse : l'hypothèse des obus oubliés - L'ex-usine AZF soufflée a été construite entre 1924 et 1926 sur des terrains appartenant à l'ancienne poudrerie nationale, où plusieurs milliers d'ouvriers ont fabriqué des obus pour le conflit de 1914-1918. Des obus inutilisés auraient pu être enterrés dans ces terrains humides en bordure de la Garonne. Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'Office national industriel de l'azote, sous contrôle allemand, devient une usine d'armement et est une cible des bombardements alliés.
AZF. Claudie Viaud tire à boulets rouges sur le détonicien de la défense
Société nationale des poudres et des explosifs (SNPE) - présentation de wikipédia
Qui produit le propergol d'Ariane 5 ?
AZF. Hassan Jandoubi était-il un terroriste ?
Témoignage de la femme de Hassan Jandoubi
Explosion de l’usine AZF (1) : quand Le Figaro «enquête» à Toulouse ... - deuxième partie
"Les couches du Kamikaze"
AZF: alarme système
Sept raisons de ne plus croire à un accident
La DST : http://fr.wikipedia.org/wiki/Direction_de_la_surveillance_du_territoire
Opération « Juliette-Siéra » (XIII)
Toulouse: Les pistes inexplorées
AZF : Total ou SNPE ?
AZF-SNPE : Désormais Perben n’exclut plus rien… http://toulouse.azf.free.fr/articles/1389.html
Selon « Valeurs Actuelles », l’explosion du 21 septembre 2001 aurait pu être provoquée par un gaz (peut être un dérivé de l’hydrazine, l'UDMH) ; en témoignerait divers témoignages faisant état d’odeurs d’ammoniaque et de « poisson pourri », venant de la SNPE, l’usine voisine d’AZF.
Explosion Toulouse : l'hypothèse des obus oubliés - L'ex-usine AZF soufflée a été construite entre 1924 et 1926 sur des terrains appartenant à l'ancienne poudrerie nationale, où plusieurs milliers d'ouvriers ont fabriqué des obus pour le conflit de 1914-1918. Des obus inutilisés auraient pu être enterrés dans ces terrains humides en bordure de la Garonne. Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'Office national industriel de l'azote, sous contrôle allemand, devient une usine d'armement et est une cible des bombardements alliés.
AZF. Claudie Viaud tire à boulets rouges sur le détonicien de la défense
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La DST : http://fr.wikipedia.org/wiki/Direction_de_la_surveillance_du_territoire
Opération « Juliette-Siéra » (XIII)
Toulouse: Les pistes inexplorées
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Aussi audacieux soit-il d'explorer l'inconnu, il l'est plus encore de remettre le connu en question ! (Kaspar) - In Shadow, A Modern Odyssey - Ozymandias - La grande implosion/Rapport sur l'effondrement de l'Occident (Pierre Thuillier) - Mon scénario - Echoes
Re: Accidents industriels
bel article.
j'avais suivi les différentes pistes présentées.
je me rappelle celle du tunnel et du tir de missile..il y avait une vidéo sur le tir mais les médias ou autre avaient démentis ce tir...
alors Accident ou vrai Attaque??? on ne le saura probablement jamais...
j'avais suivi les différentes pistes présentées.
je me rappelle celle du tunnel et du tir de missile..il y avait une vidéo sur le tir mais les médias ou autre avaient démentis ce tir...
alors Accident ou vrai Attaque??? on ne le saura probablement jamais...
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--Editions L'Antre du Khaos
--On pensait être prêt, mais ce qui se passa était pire que tout ce que l'on avait pu imaginer!!--(les Chroniques du Khaos)
--BP : Be Prepared (Baden Powell)
--Mon EDC
Re: Accidents industriels
Instructif, clair et didactique.
Mais comme le dit Lyam, on ne saura sans doute jamais la vérité...
J'avais bossé avec des élèves de seconde le problème des risques technologiques, et j'utilisai parfois une carte IGN de Toulouse, mais toujours dans l'optique "SNPE"... Pas AZF, dont j'ai découvert l'existence (même si je bossais sur la carte : on ne voit que ce qu'on veut voir...) le 21 septembre, comme beaucoup de gens j'imagine.
Mais comme le dit Lyam, on ne saura sans doute jamais la vérité...
J'avais bossé avec des élèves de seconde le problème des risques technologiques, et j'utilisai parfois une carte IGN de Toulouse, mais toujours dans l'optique "SNPE"... Pas AZF, dont j'ai découvert l'existence (même si je bossais sur la carte : on ne voit que ce qu'on veut voir...) le 21 septembre, comme beaucoup de gens j'imagine.
modl- Membre Premium
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Re: Accidents industriels
bah, il est arrivé la même chose dans un bled en allemagne dans les années 20 (de mémoire) avec une chiée de victimes...
à l'époque ils avaient dit : "nie das "
mais bon , stocker ce genre de matière , avec un seuil "crtitique" ... suffit d'un "manitou" qui fuit le gasoil et une masse qui tombe par terre ...ça fait bêtement du nitrate fuel (interdit par la chartre)
à l'époque ils avaient dit : "nie das "
mais bon , stocker ce genre de matière , avec un seuil "crtitique" ... suffit d'un "manitou" qui fuit le gasoil et une masse qui tombe par terre ...ça fait bêtement du nitrate fuel (interdit par la chartre)
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serilynpayne- Animateur
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