Le suicide est un risque
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Le suicide est un risque
Après avoir traîné un peu sur le site de Peter Watkins, réalisateur de "The War Game" (aka "La Bombe"), "La Commune 1871" et "Punishment Park" (je parle de ceux que j'ai vu), j'ai été intéressé par ce qu'il disait sur son documentaire sur le suicide au Danemark (Seventies People) , film apparemment introuvable.
Du coup, je suis allé sur Wikipedia, pour en savoir un peu plus sur le suicide, et du coup il y a apparemment trois formes de suicide qui pourraient se produire en cas de gros problèmes : (copier-coller)
Le suicide "égoïste"
Présence ici, à l'inverse du suicide "altruiste" (voir ci-dessus), d'une individualisation démesurée et qui s'affirme au détriment du moi social, ainsi que d'une désagrégation de la société. Il est le signe d'une société trop destructurée pour fournir un motif valable d'existence à certains de ses individus.
C'est, par exemple, le suicide de l'adolescent solitaire. La famille et la religion protègent en principe contre ce type de suicide.
Le suicide "anomique"
Le suicide anomique est dû à des changements sociaux trop rapides pour que les individus puissent adapter leurs repères moraux. Le mot "anomie" vient du grec anomia et signifie absence de règle, violation de la règle. Il a été emprunté, dans un premier temps, en philosophie par Jean-Marie Guyau1854-1888) qui, à la différence des Grecs, l'utilisait de façon positive : l'anomie répresente l'affranchissement des limites virtuelles fixées par l'homme. Cependant le sociologue français Émile Durkheim(1858-1917), en étudiant le comportement suicidaire, l'utilise mais revient sur une vision plus sombre et négative du mot, où la rupture des règles peut être très néfaste au psychisme et conduire au suicide. Il a été montré par des études que le suicide croît de façon proportionnelle aux dérèglements d'ordre social et d'ordre économique : qu'il s'agisse de crises boursières ou d’embellie économique, le taux de suicide augmente car l'individu perd ses repères et ses régulateurs.
Le suicide "fataliste"
Le suicide fataliste se définit par la prise en compte par l'individu d'un destin muré, immuable. C'est le suicide du kamikaze, de celui dont l'« avenir est impitoyablement muré ». On retrouve aussi dans cette catégorie le suicide des époux trop jeunes ou celui des esclaves et des prisonniers.
Le risque de suicide le plus concerné par la crise serait le suicide
"anomique", alors que toutes les règles précédentes n'existent plus,
rendant l'homme déboussolé et, sérieusement, incapable de vivre.
C'est l'image du banquier soudain ruiné qui se suicide.
Or, nous Occidentaux qui vivons dans un monde presque totalement
virtuel, nous sommes à mon avis très vulnérable à ce risque, plus en
tout cas que les Russes et les Argentins qui avaient eu une histoire
plus rude.
Du coup, je suis allé sur Wikipedia, pour en savoir un peu plus sur le suicide, et du coup il y a apparemment trois formes de suicide qui pourraient se produire en cas de gros problèmes : (copier-coller)
Le suicide "égoïste"
Présence ici, à l'inverse du suicide "altruiste" (voir ci-dessus), d'une individualisation démesurée et qui s'affirme au détriment du moi social, ainsi que d'une désagrégation de la société. Il est le signe d'une société trop destructurée pour fournir un motif valable d'existence à certains de ses individus.
C'est, par exemple, le suicide de l'adolescent solitaire. La famille et la religion protègent en principe contre ce type de suicide.
Le suicide "anomique"
Le suicide anomique est dû à des changements sociaux trop rapides pour que les individus puissent adapter leurs repères moraux. Le mot "anomie" vient du grec anomia et signifie absence de règle, violation de la règle. Il a été emprunté, dans un premier temps, en philosophie par Jean-Marie Guyau1854-1888) qui, à la différence des Grecs, l'utilisait de façon positive : l'anomie répresente l'affranchissement des limites virtuelles fixées par l'homme. Cependant le sociologue français Émile Durkheim(1858-1917), en étudiant le comportement suicidaire, l'utilise mais revient sur une vision plus sombre et négative du mot, où la rupture des règles peut être très néfaste au psychisme et conduire au suicide. Il a été montré par des études que le suicide croît de façon proportionnelle aux dérèglements d'ordre social et d'ordre économique : qu'il s'agisse de crises boursières ou d’embellie économique, le taux de suicide augmente car l'individu perd ses repères et ses régulateurs.
Le suicide "fataliste"
Le suicide fataliste se définit par la prise en compte par l'individu d'un destin muré, immuable. C'est le suicide du kamikaze, de celui dont l'« avenir est impitoyablement muré ». On retrouve aussi dans cette catégorie le suicide des époux trop jeunes ou celui des esclaves et des prisonniers.
Le risque de suicide le plus concerné par la crise serait le suicide
"anomique", alors que toutes les règles précédentes n'existent plus,
rendant l'homme déboussolé et, sérieusement, incapable de vivre.
C'est l'image du banquier soudain ruiné qui se suicide.
Or, nous Occidentaux qui vivons dans un monde presque totalement
virtuel, nous sommes à mon avis très vulnérable à ce risque, plus en
tout cas que les Russes et les Argentins qui avaient eu une histoire
plus rude.
Andros- Membre fondateur
- Nombre de messages : 1138
Date d'inscription : 12/12/2006
Re: Le suicide est un risque
là je pense encore que le professeur dit juste; c'est un suicide sur le manque de perspectives, et je pense que l'on est impuissant face à lui, vu que l'on a que très peu d'influence sur les "représentations" d'un individu.
alors si vous voulez préserver des personnes trop dépendantes du système, ou dont l'avenir y serait brillant...ouvrez leur des perspectives décroissantes rapidement ou tremblez pour eux...
maintenant je pense que cette sorte de suicide affecte daventage des personnes manquant de capacités d'adaptations: quelqu'un plein de ressources, optimiste, et polyvalent y réchappera certainement.
alors si vous voulez préserver des personnes trop dépendantes du système, ou dont l'avenir y serait brillant...ouvrez leur des perspectives décroissantes rapidement ou tremblez pour eux...
maintenant je pense que cette sorte de suicide affecte daventage des personnes manquant de capacités d'adaptations: quelqu'un plein de ressources, optimiste, et polyvalent y réchappera certainement.
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J'ai beaucoup étudié les philosophes et les chats. La sagesse des chats est infiniment supérieure.
Hippolyte Taine
Re: Le suicide est un risque
Telimectar a écrit:maintenant je pense que cette sorte de suicide
affecte daventage des personnes manquant de capacités d'adaptations:
quelqu'un plein de ressources, optimiste, et polyvalent y réchappera
certainement.
Et que fait cette personne lorsqu'elle se rend compte qu'elle n'est pas
si pleine de ressources, optimiste et polyvalente qu'elle pensait
l'être... ?
La psychologie c'est vraiment un terrain miné, il faut pas croire que
la Pensée Positive (ou la Pierre du Nord, c'est du même registre) peut
tout résoudre d'un coup de baguette magique, "certainement".
Je garde de sombres souvenirs de mes périodes de chômage, tout plein de
ressources, optimiste et polyvalent que j'aie été juste avant !
Andros- Membre fondateur
- Nombre de messages : 1138
Date d'inscription : 12/12/2006
Re: Le suicide est un risque
c'est clair, je dis pas qu'on puisse se jauger seul, mais pour les autres...on peut avoir son idée
cela dit ô cher Andros, je pense qu'ici on s'informe, on se prépare suffisament pour éviter l'anomique, et que je succomberai plutôt au fataliste si la centrale nucléaire à coté de chez moi explose, que toutes mes graines sont perdues, et qu'il arrive malheur à mon chat (et peut etre aussi si je me rend compte que je me suis préparé comme un pied, mais bon, c'était un autre de tes sujets ça il me semble: l'état des préparations^^)
cela dit ô cher Andros, je pense qu'ici on s'informe, on se prépare suffisament pour éviter l'anomique, et que je succomberai plutôt au fataliste si la centrale nucléaire à coté de chez moi explose, que toutes mes graines sont perdues, et qu'il arrive malheur à mon chat (et peut etre aussi si je me rend compte que je me suis préparé comme un pied, mais bon, c'était un autre de tes sujets ça il me semble: l'état des préparations^^)
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J'ai beaucoup étudié les philosophes et les chats. La sagesse des chats est infiniment supérieure.
Hippolyte Taine
Re: Le suicide est un risque
Le suicide, on peut pas juger sans y avoir été vraiment.
Moi, c'est arrivé le jour où d'un coup, j'ai plus eu de famille ( femme
barrée avec les mômes ). D'un coup, t'a plus rien. Si tu survis, t'es
plus fort. ( qui a dit que ce qui te ne tuait pas te rendrait plus fort
? ). C'était il y a quelques siècles et c'est toujours d' actualité.
Moi, c'est arrivé le jour où d'un coup, j'ai plus eu de famille ( femme
barrée avec les mômes ). D'un coup, t'a plus rien. Si tu survis, t'es
plus fort. ( qui a dit que ce qui te ne tuait pas te rendrait plus fort
? ). C'était il y a quelques siècles et c'est toujours d' actualité.
rurbain- Membre
- Nombre de messages : 74
Date d'inscription : 20/10/2007
Re: Le suicide est un risque
En toute honnêteté : je ne me sens pas particulièrement bien préparé à ce qui pourrait venir.
Par contre, j'aurais fait ce que je pouvais avant, et du coup sur ce
point-là il n'y a plus de problèmes, psychologiquement parlant. Pas de
remords à se faire.
Mais sinon, je ne m'estime aucunement à l'abri d'une dépression, de
sombrer dans l'alcoolisme, dans la démence, dans le suicide en cas de
crise catastrophique.
C'est pas parce qu'un soldat s'est entraîné qu'une balle ne peut pas
l'atteindre, et de fait il n'y a aucune manière de se préparer contre
les dégâts psychologiques d'une crise grave.
Il n'y a qu'à voir les conséquences psychologiques désastreuses de la
guerre au Moyen-Orient pour les Américains. Tu peux être intact
physiquement mais devenir une loque psychologiquement, et t'auras
jamais ton mot à dire sur la question.
Maintenant que j'y pense, moi qui suit pas très "prmitif" dans ma
pensée, et plutôt sensible intellectuellement et artistiquement, je
pense que j'ai en fait plus de risques que d'autres d'être affecté par
la Venue de la Bise.
Par contre, j'aurais fait ce que je pouvais avant, et du coup sur ce
point-là il n'y a plus de problèmes, psychologiquement parlant. Pas de
remords à se faire.
Mais sinon, je ne m'estime aucunement à l'abri d'une dépression, de
sombrer dans l'alcoolisme, dans la démence, dans le suicide en cas de
crise catastrophique.
C'est pas parce qu'un soldat s'est entraîné qu'une balle ne peut pas
l'atteindre, et de fait il n'y a aucune manière de se préparer contre
les dégâts psychologiques d'une crise grave.
Il n'y a qu'à voir les conséquences psychologiques désastreuses de la
guerre au Moyen-Orient pour les Américains. Tu peux être intact
physiquement mais devenir une loque psychologiquement, et t'auras
jamais ton mot à dire sur la question.
Maintenant que j'y pense, moi qui suit pas très "prmitif" dans ma
pensée, et plutôt sensible intellectuellement et artistiquement, je
pense que j'ai en fait plus de risques que d'autres d'être affecté par
la Venue de la Bise.
Andros- Membre fondateur
- Nombre de messages : 1138
Date d'inscription : 12/12/2006
Re: Le suicide est un risque
Curieux que tu aborde ce sujet Andros, j'y songeais depuis quelques jours. Mais lent comme je suis...
Sujet délicat s'il en est.
Je pensais entre autre au suicide fataliste. Il y a des personnes dans mon entourage qui sont totalement dépendant de certains médicaments. En cas de rupture de stock, la mort surviendrait en quelques semaines.
Une de ces personnes me disait alors pourquoi manger une nourriture déjà rationnée, au risque d'en priver les autres, pour en arriver à mourir quand même après une dizaine de semaines. Autant en finir tout de suite.
Dans la culture Inuit, celui qui était trop vieux, infirme, blessé ou malade était abandonné sur la banquise et mourait rapidement de froid. Souvent, je crois, il quittait volontairement le groupe pour ne pas le mettre en danger.
En situation de survie, le groupe, et sa capicité à survivre, prime sur l'individu.
Cette façon de penser et d'agir est diamétralement à l'opposée de notre actuelle culture égocentrique et individualiste.
Sujet délicat s'il en est.
Je pensais entre autre au suicide fataliste. Il y a des personnes dans mon entourage qui sont totalement dépendant de certains médicaments. En cas de rupture de stock, la mort surviendrait en quelques semaines.
Une de ces personnes me disait alors pourquoi manger une nourriture déjà rationnée, au risque d'en priver les autres, pour en arriver à mourir quand même après une dizaine de semaines. Autant en finir tout de suite.
Dans la culture Inuit, celui qui était trop vieux, infirme, blessé ou malade était abandonné sur la banquise et mourait rapidement de froid. Souvent, je crois, il quittait volontairement le groupe pour ne pas le mettre en danger.
En situation de survie, le groupe, et sa capicité à survivre, prime sur l'individu.
Cette façon de penser et d'agir est diamétralement à l'opposée de notre actuelle culture égocentrique et individualiste.
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Jep. En 1950, nous pensions pouvoir faire reverdir les déserts.
En 2050, nous aurons réussi à désertifier la Terre entière.
Re: Le suicide est un risque
Andros a écrit:Maintenant que j'y pense, moi qui suit pas très "prmitif" dans ma pensée, et plutôt sensible intellectuellement et artistiquement, je pense que j'ai en fait plus de risques que d'autres d'être affecté par la Venue de la Bise.
J'aime bien la tournure de ta phrase .
Pour ce qui est du suicide, je ne pense pas que ça m'arrivera (sauf si je dois m'achever au cas où j'ai perdu les deux jambes, les deux yeux, les deux oreilles, et un bras après avoir marché sur une mine anti-personnelle ).
Quand j'ai un coup de déprime, je repense au leitmotiv que j'ai trouvé dans un article de preparedness et c'est efficace :
Outlast The Others !!*
*: Survis aux autres !
*: Survis aux autres !
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~~~~~ MANUEL DE SURVIE URBAINE (by FerFAL) ~~~~~
Re: Le suicide est un risque
Vivre plus longtemps que les autres n'est pas forcément le but ultime. Le but c'est de vivre jusqu'au bout et en tirer un plaisir, indépendament de la longévité des autres.
Si t'es coincé, que tu as déjà bien vécu, et que les quelques temps qui te restent à vivre n'apporteront vraiment rien de plus, voire de la souffrance, le choix de partir dans la sérénité est une option valable.
Tabou dans notre civilisation judéo-chrétienne, normal chez les japonais par exemple (l'assurance-vie rembourse en cas de suicide chez eux).
Mourir, c'est subir. Se suicider c'est décider.
Toutefois le suicide peut-être subi, si on y est acculé contre son gré par le harcèlement ressenti dû à son environnement. J'avais créé un fil approchant sur les risques portés par l'entourage. Le suicide fait partie de ces menaces anti-survivalistes dont il faut tenir compte. En particulier éviter ce qui peut faciliter le passage à l'acte.
Si t'es coincé, que tu as déjà bien vécu, et que les quelques temps qui te restent à vivre n'apporteront vraiment rien de plus, voire de la souffrance, le choix de partir dans la sérénité est une option valable.
Tabou dans notre civilisation judéo-chrétienne, normal chez les japonais par exemple (l'assurance-vie rembourse en cas de suicide chez eux).
Mourir, c'est subir. Se suicider c'est décider.
Toutefois le suicide peut-être subi, si on y est acculé contre son gré par le harcèlement ressenti dû à son environnement. J'avais créé un fil approchant sur les risques portés par l'entourage. Le suicide fait partie de ces menaces anti-survivalistes dont il faut tenir compte. En particulier éviter ce qui peut faciliter le passage à l'acte.
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Le mythe de la croissance infinie s'apparente à une vente pyramidale. Elle s'effondre tôt ou tard.
splotch- Membre
- Nombre de messages : 381
Localisation : 92
Date d'inscription : 23/06/2007
Re: Le suicide est un risque
splotch a écrit:Vivre plus longtemps que les autres n'est pas forcément le but ultime. Le but c'est de vivre jusqu'au bout et en tirer un plaisir, indépendament de la longévité des autres.
Oui, en fait c'est plus pour la période de transition un peu shaky entre maintenant et la période post-attrition. Après...
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Re: Le suicide est un risque
Andros a écrit:En toute honnêteté : je ne me sens pas particulièrement bien préparé à ce qui pourrait venir.
Par contre, j'aurais fait ce que je pouvais avant, et du coup sur ce
point-là il n'y a plus de problèmes, psychologiquement parlant. Pas de
remords à se faire
Tu fais pas ce que tu pourrais avant parce que ça te tombe sur la tronche en 2 minutes.
T'avais tout, deux minutes après t'as plus rien.
Faut le vivre pour le croire.
C'est là qu'il faut être fort. ( je dois dire que je l'ai pas été trop,
mais je me suis rattrapé, l'évasion de l'hopital et les 25 bornes à me
taper à pied m'ont durci, oui, je dois dire durci )
Edit : transformé un ne en en ( désolé pour le dérangement mais j'aime pas les fautes )
rurbain- Membre
- Nombre de messages : 74
Date d'inscription : 20/10/2007
Re: Le suicide est un risque
Je crois que j'ai pas tout compris dans ton post.
Si c'est ce que je crois, oui bien sûr je peux tout perdre en deux minutes, tout à fait.
C'est pas parce que j'ai fait des préparatifs que je suis blindé contre
tout (au contraire même, ou les préparatifs comme aimants à emmerdes).
J'ai bien compris ?
Si c'est ce que je crois, oui bien sûr je peux tout perdre en deux minutes, tout à fait.
C'est pas parce que j'ai fait des préparatifs que je suis blindé contre
tout (au contraire même, ou les préparatifs comme aimants à emmerdes).
J'ai bien compris ?
Andros- Membre fondateur
- Nombre de messages : 1138
Date d'inscription : 12/12/2006
Re: Le suicide est un risque
Pour ce qui me concerne si j'était seul je ne m'embeterai même pas a me préparer, ca serai "j'en profite tant que ca dure et quand la grosse merde arrive et bien tant pis pour moi" (avec peut etre même un gentil suicide indolore tout pret sous la main)
Mais....j'ai la grande chance d'avoir une femme adorable, donc je me prépare pour pouvoir essayer de la "sauver" le jours venu...
Le Celte
Mais....j'ai la grande chance d'avoir une femme adorable, donc je me prépare pour pouvoir essayer de la "sauver" le jours venu...
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Le_Celte- Membre Premium
- Nombre de messages : 1237
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Emploi : webmaster
Date d'inscription : 10/08/2007
Re: Le suicide est un risque
Canis Lupus a écrit:Outlast The Others !!*
*: Survis aux autres !
Après tout, c'est peut être la bonne façon de voir les choses.
( mais tes mômes sont inclus là dedans ? )
rurbain- Membre
- Nombre de messages : 74
Date d'inscription : 20/10/2007
Re: Le suicide est un risque
Perso je ne comprend rien à tout celà :
Vivre, à moins d'avoir eu beaucoup de chance, c'est souvent serrer les dents et les poings pour arriver à continuer malgré tout.
Si on se laisse vaincre par la souffrance , amha perso, c'est qu'on gache sa vie.
Et oui je sais de quoi je parle : regardez l'heure du message, et souhaitez moi que mon dos se calme rapidement que je puisse retourner dormir!!
Ce qui ne m'a pas empêché hier de faire une bonne dizaine d'heures de travail manuel !!
Vivre, à moins d'avoir eu beaucoup de chance, c'est souvent serrer les dents et les poings pour arriver à continuer malgré tout.
Si on se laisse vaincre par la souffrance , amha perso, c'est qu'on gache sa vie.
Et oui je sais de quoi je parle : regardez l'heure du message, et souhaitez moi que mon dos se calme rapidement que je puisse retourner dormir!!
Ce qui ne m'a pas empêché hier de faire une bonne dizaine d'heures de travail manuel !!
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"J'arrêterais de faire de la politique le jour où ceux qui font de la politique arrêteront de faire les guignols....."
Coluche
P'tain dire que c'etait il y a 30 ans et que rien n'a changé en mieux depuis ....
transhuman- Membre Premium
- Nombre de messages : 1502
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Date d'inscription : 07/01/2007
Re: Le suicide est un risque
Oui mais dans un combat, même si tu "décides" de gagner, ce n'est pas une garantie de victoire. Il y a des fois où on perd.
Contre les maux psychologiques c'est pareil, on décide pas.
Contre les maux psychologiques c'est pareil, on décide pas.
Andros- Membre fondateur
- Nombre de messages : 1138
Date d'inscription : 12/12/2006
Re: Le suicide est un risque
Andros a écrit:Oui mais dans un combat, même si tu "décides" de gagner, ce n'est pas une garantie de victoire. Il y a des fois où on perd.
Contre les maux psychologiques c'est pareil, on décide pas.
Désolé Andros mais je suis pas d'accord :
D'abord la vie, l'existence n'est pas un combat. Pour certains , pendant une partie de leur existence oui celà peut être le cas, mais pas en général.
Comme dit la chanson, la "vie c'est continuer".
Quelques soient les difficultées, quelque soit le contexte où l'on vit vivre se résume in fine à obtenir plus d'énergie que l'on en consomme.
Basiquemment, il est nécessaire d'avoir de quoi manger et de quoi boire. C'est de l'énergie.
Il est nécessaire d'avoir un abri pour se protéger du froid et du chaud. C'est de l'economie d'énergie.
Psychologiquement il est nécessaire d'avoir une vie suffisament équilibrée pour permettre à notre corps de générer suffisamment d'hormones et de neurotransmetteurs pour nous donner la possibilité d'agir.
Et ces hormones et neuro transmetteurs ne se produisent pas rapidement, même si l'on est en bonne santé. Il faut du temps pour que notre corps fasse le nécessaire. Et donc pendant ce temps la vie se resume basiquement à continuer, à supporter les joies et les peines de l'existence mais à vivre malgré tout.
Tout ceux ( et celles ) ici qui n'ont jamais eu besoin de s'adapter à des conditions rudes ( par exemple la montagne ) doivent savoir un truc :
On s'adapte à peu prêt à tout. Mais l'adaptation ellle même est super douloureuse si l'on vient d'un milieu protégé.
Et faut bien se mettre dans la tête que "survivre" , disons les trois premiers mois, c'est surtout faire avec ces douleurs ( le froid, les crampes, les gestes malhabiles, les insomnies, les maux de ventre .... )
Je dis que renoncer ( en clair se suicider ) à cause de cette douleur d'adaptation serait un énorme gachis. Faut continuer pour pouvoir passer le flambeau à la génération suivante. Sinon il n'y aura jamais de société post industrielle.
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transhuman- Membre Premium
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Date d'inscription : 07/01/2007
Re: Le suicide est un risque
Transhuman, tu veux dire que l'épidémie de désordres psychologiques voire psychiatirques parmi les vétérans de l'armée US est liée à une mauvaise balance hormonale ?
Andros- Membre fondateur
- Nombre de messages : 1138
Date d'inscription : 12/12/2006
Re: Le suicide est un risque
Malheureusement , oui en partie, surtout si tu rajoute des neuro transmetteurs aux hormones !
Psst ... j'ai précisé , pour certains la vie est parfois un combat.
Bon revenons aux GIs que tu prends en exemple :
Une grosse partie de leurs problèmes se manifeste de retour chez eux. Pourquoi ? Bien sur à cause du temps qui passe. Mais aussi et surtout parce que notre mode de vie quotidien est linéaire et non cyclique.
Ces vétérans ont, durant leur service, au front générés des hormones ( cortisones et le reste... ) pour faire fasse au stress ( ne serait ce que la peur ).
En plus d'autres hormones et neuro transmetteurs se sont activés ou inhibés pour s'adapter à un autre climat.
Et brusquement les voilà dans un univers douillet ou tout stress est abscent ( ou si peu présent par rapport à ce qu'ils ont connut ). Les hormones, les neuro transmetteurs etc s'accumulent, dérèglent l'organisme et en plus empêche, par leur trop forte présence, le retour de l'organisme à un mode de vie plus calme. C'est vache à dire mais je parie qu'il y aurait beaucoup moins de désordre psy chez ces vétérans si à leur retour on les envoyait de nouveau faire leurs classes avec un sergeant instructeur qui leur geule dessus plutot que de les envoyer directement se faire caliner par leur dulcinée!
Il y a moins violent et plus fréquent comme exemple :
Pourquoi des tas de gens sont en surpoids, voire obèses ? pourquoi il y en a t il de plus en plus alors que les informations/explications diètétiques n'ont jamais été aussi pédagogiques et disponibles ?
Tout bêtemment parce dans nos vies modernes il n'est pas prévu, ni normal d'avoir faim ! Je veut dire vraiment faim pendant au moins une journée, de façon régulière.
Résultat le corps n'a plus la possibilité de solliciter ces réserves. Et lorsque l'on cherche à maigrir par un régime , la douleur de la faim , par manque d'habitude, parait insupportable. En plus le corps, naturellement tente de solliciter ses réserves mais ne peut y arriver que faiblement ce qui augmente l'inconfort. D'où le fameux effet yo-yo de perte et reprise de poids.
La vie est faite pour s'organiser de façon cyclique. La gestion d'une vie quotidienne passe par savoir faire des réserves.
Celà me parait un peu "bancal" de penser à stocker des boites de conserves , pour être prêt si celà déconne mais ne pas penser parallèlement à s'entrainer à l'inconfort
Psst ... j'ai précisé , pour certains la vie est parfois un combat.
Bon revenons aux GIs que tu prends en exemple :
Une grosse partie de leurs problèmes se manifeste de retour chez eux. Pourquoi ? Bien sur à cause du temps qui passe. Mais aussi et surtout parce que notre mode de vie quotidien est linéaire et non cyclique.
Ces vétérans ont, durant leur service, au front générés des hormones ( cortisones et le reste... ) pour faire fasse au stress ( ne serait ce que la peur ).
En plus d'autres hormones et neuro transmetteurs se sont activés ou inhibés pour s'adapter à un autre climat.
Et brusquement les voilà dans un univers douillet ou tout stress est abscent ( ou si peu présent par rapport à ce qu'ils ont connut ). Les hormones, les neuro transmetteurs etc s'accumulent, dérèglent l'organisme et en plus empêche, par leur trop forte présence, le retour de l'organisme à un mode de vie plus calme. C'est vache à dire mais je parie qu'il y aurait beaucoup moins de désordre psy chez ces vétérans si à leur retour on les envoyait de nouveau faire leurs classes avec un sergeant instructeur qui leur geule dessus plutot que de les envoyer directement se faire caliner par leur dulcinée!
Il y a moins violent et plus fréquent comme exemple :
Pourquoi des tas de gens sont en surpoids, voire obèses ? pourquoi il y en a t il de plus en plus alors que les informations/explications diètétiques n'ont jamais été aussi pédagogiques et disponibles ?
Tout bêtemment parce dans nos vies modernes il n'est pas prévu, ni normal d'avoir faim ! Je veut dire vraiment faim pendant au moins une journée, de façon régulière.
Résultat le corps n'a plus la possibilité de solliciter ces réserves. Et lorsque l'on cherche à maigrir par un régime , la douleur de la faim , par manque d'habitude, parait insupportable. En plus le corps, naturellement tente de solliciter ses réserves mais ne peut y arriver que faiblement ce qui augmente l'inconfort. D'où le fameux effet yo-yo de perte et reprise de poids.
La vie est faite pour s'organiser de façon cyclique. La gestion d'une vie quotidienne passe par savoir faire des réserves.
Celà me parait un peu "bancal" de penser à stocker des boites de conserves , pour être prêt si celà déconne mais ne pas penser parallèlement à s'entrainer à l'inconfort
Dernière édition par le Dim 09 Déc 2007, 12:30, édité 1 fois
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"J'arrêterais de faire de la politique le jour où ceux qui font de la politique arrêteront de faire les guignols....."
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Re: Le suicide est un risque
Et il n'y a pas que le physique qui fait mal :
Pour s'entrainer psychologiquement à supporter la douleur vous pouvez faire un truc :
Prenez une matière qui vous a bien fais chixr à l'école, que ce soit les maths ou le japonais , et essayez d'en comprendre vraiment les rudiments .....
Pour s'entrainer psychologiquement à supporter la douleur vous pouvez faire un truc :
Prenez une matière qui vous a bien fais chixr à l'école, que ce soit les maths ou le japonais , et essayez d'en comprendre vraiment les rudiments .....
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Re: Le suicide est un risque
lol Transhuman^^
Je suis entièrement d'accord avec Andros sur le point: " même bien préparé, nous ne sommes pas à l'abri de tout". Cependant, nous ne devrions pas nous arreter sur ce point: Il bouche l'horizon, et du même coup nous empêche de concentrer notre attention sur ce que l'on peut faire, créer, recréer...
Maintenant, concernant la douleur, le manque, je dirais que ce n'est pas un état naturel de l'homme. En conséquence, pourquoi s'y habituer dans la mesure ou cet état n'est pas forcément profitable (je parle de la faim, du manque de socialisation etc, pas du manque malsain d'une addiction type téléphone portable ou émission télé).
Quand transhuman nous parle de s'habituer à "supporter la douleur", je ne vois pas cela comme une nécessité. Cependant il me semble plus naturel de s'exercer plus doucement, non pas en faisant des exercices de mathématiques ( trop dur ) mais de faire le ramadan ou un vrai jeûne de temps en temps; c'est un fort bon exercice, très sain pour le corps comme pour l'esprit.^^
Juste mon avis de marginal réactionaire et d'handicapé grammatical .
Edit: du coup je vais restreindre mes posts avant d'en faire se suicider certains .
Je suis entièrement d'accord avec Andros sur le point: " même bien préparé, nous ne sommes pas à l'abri de tout". Cependant, nous ne devrions pas nous arreter sur ce point: Il bouche l'horizon, et du même coup nous empêche de concentrer notre attention sur ce que l'on peut faire, créer, recréer...
Maintenant, concernant la douleur, le manque, je dirais que ce n'est pas un état naturel de l'homme. En conséquence, pourquoi s'y habituer dans la mesure ou cet état n'est pas forcément profitable (je parle de la faim, du manque de socialisation etc, pas du manque malsain d'une addiction type téléphone portable ou émission télé).
Quand transhuman nous parle de s'habituer à "supporter la douleur", je ne vois pas cela comme une nécessité. Cependant il me semble plus naturel de s'exercer plus doucement, non pas en faisant des exercices de mathématiques ( trop dur ) mais de faire le ramadan ou un vrai jeûne de temps en temps; c'est un fort bon exercice, très sain pour le corps comme pour l'esprit.^^
Juste mon avis de marginal réactionaire et d'handicapé grammatical .
Edit: du coup je vais restreindre mes posts avant d'en faire se suicider certains .
Dernière édition par le Dim 09 Déc 2007, 16:44, édité 1 fois
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J'ai beaucoup étudié les philosophes et les chats. La sagesse des chats est infiniment supérieure.
Hippolyte Taine
Re: Le suicide est un risque
Transhuman , ta vision de la douleur , je la comprend . Je travail avec mon frère et ma femme qui ont tout les deux une luxation congénital des hanches . Cette usure prématuré des cartilages de la tête du fémur leur procure des douleurs très aiguës , et bien ils bossent tout les deux, en souffrant qq fois le martyre et sans se plaindre . Avec se genre de problème tu souffre qq fois depuis la naissance et tu n'es opérable que passé 50 ans voir 55 ans a cause de la longévité des prothèses une 20ène d'années au mieux.
Je leur tire mon chapeau , car JAMAIS ils n'ont exprimés un refus de continuer à vivre devant le mal .
Tout au plus quand ils n'en peuvent plus ils se reposent .
Bravo !! Et bravo à toi aussi .
Je leur tire mon chapeau , car JAMAIS ils n'ont exprimés un refus de continuer à vivre devant le mal .
Tout au plus quand ils n'en peuvent plus ils se reposent .
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phyvette- Membre Premium
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Date d'inscription : 04/12/2006
Re: Le suicide est un risque
Règle 5
Veillez à vous exprimer dans un français correct, respectez les bases de l'orthographe et de la grammaire (majuscules, points, accords sujet-verbe...), afin de faciliter aux autres intervenants la lecture de vos messages. Évitez le langage SMS (incompréhensible pour beaucoup et très pénible à lire pour tous).
Orthographe et majuscules...Ecris correctement Telimectar, ça nous soulagera les yeux.
Veillez à vous exprimer dans un français correct, respectez les bases de l'orthographe et de la grammaire (majuscules, points, accords sujet-verbe...), afin de faciliter aux autres intervenants la lecture de vos messages. Évitez le langage SMS (incompréhensible pour beaucoup et très pénible à lire pour tous).
Orthographe et majuscules...Ecris correctement Telimectar, ça nous soulagera les yeux.
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Re: Le suicide est un risque
Telimectar a écrit:lol Transhuman^^
je suis entièrement avec Andros sur le point " même bien préparé, on est pas à l'abri de tout", cependant, on ne doit pas s'arréter sur ce point: il bouche l'horizon, et du même coup nous epêche de concentrer notre attention sur ce que l'on peut faire, créer, recréer...
maintenant, concernant la douleur, le manque, je dirais que ce n'est pas un état naturel, et donc qu'il ne faut pas s'y habituer dans la mesure ou cet état n'est pas forcément profitable (je parle de la faim, du manque de socialisation etc, pas du manque malsain d'une addiction type téléphone portable ou émission télé)
là ou transhuman nous parle de s'habituer à "supporter la douleur", c'est pour une periode de crise, alors moi, le conseil que je vous donnerais, c'est non pas de faire des exercice de math ( trop dur ) mais de faire le ramadan ou un vrai jeûne de temps en temps, c'est un fort bon exercice, très sain pour le corps comme l'esprit^^
juste mon avis de marginal réactionaire
mon vieux félidé je ne parle pas de supporter la douleur. Je parle d'être conscient et habitué à l'Alternance de privation ou souffrance et du retour à une vie plus classique.
Je le redis, pour le sujet qui nous préoccupe ici ( le suicide du au choc de l'adaptation ) , la dite adaptation à un environnement plus coriace, génèrera par elle même de la douleur. Cette douleur finira par passer en quelque semaines. Cette douleur relative à l'effort d'adaptation n'est pas directement proportionnelle à la différence de qualité entre l'environnement que l'on aura connu et celui auquel il faudra s'habituer.
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"J'arrêterais de faire de la politique le jour où ceux qui font de la politique arrêteront de faire les guignols....."
Coluche
P'tain dire que c'etait il y a 30 ans et que rien n'a changé en mieux depuis ....
transhuman- Membre Premium
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Re: Le suicide est un risque
phyvette a écrit:...
Tout au plus quand ils n'en peuvent plus ils se reposent .
Voilà tout est là. C'est la grande leçon que le monde moderne a largement oublié.
phyvette a écrit:...Bravo !! Et bravo à toi aussi .
Merci mais comparé à leur situation que tu décris mes problèmes sont rien du tout . Transmet leur tout mes encouragements.
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transhuman- Membre Premium
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