Conservation fruits et légumes
+4
moulino51
pvo12
phyvette
Catharing
8 participants
Olduvaï :: Faire face aux situations de crise (réservé aux membres s'étant présentés) :: Cuisine & alimentation (conservation & préparation des aliments) :: Cuisine :: Conservation
Page 1 sur 1
Conservation fruits et légumes
Salut,
Lu dans une revue sur Gallica, La Revue des connaissances utiles : revue mensuelle de vulgarisation de 1911.source
Conservation des fruits mais surtout des tomates durant un à deux ans..
Eau salée plus un "bouchon" composé d'huile.
Vous connaissez ce mode conservation?

Lu dans une revue sur Gallica, La Revue des connaissances utiles : revue mensuelle de vulgarisation de 1911.source
Conservation des fruits mais surtout des tomates durant un à deux ans..
Eau salée plus un "bouchon" composé d'huile.
Vous connaissez ce mode conservation?

________________________________________________________
DARVO
"Ceux à qui le monde n'apparaît pas à leur goût, je leur conseille de ne pas tâcher de changer le monde mais de changer leur goût"
phyvette- Membre Premium
-
Nombre de messages : 816
Date d'inscription : 04/12/2006
Re: Conservation fruits et légumes
Salut,
Merci phyvette,tu as déjà essayé?
Merci phyvette,tu as déjà essayé?
________________________________________________________
DARVO
"Ceux à qui le monde n'apparaît pas à leur goût, je leur conseille de ne pas tâcher de changer le monde mais de changer leur goût"
Re: Conservation fruits et légumes
Non, mais je vais le faire cette année. Mais je vais donc prendre de l'eau en bouteille à 10% de gros sel, dans des bocaux de confiture à couvercle vissé, mais en ne plaçant qu'une seule tomate par bocal. Histoire de limiter les risques de fermentation et de perte.
phyvette- Membre Premium
-
Nombre de messages : 816
Date d'inscription : 04/12/2006
Re: Conservation fruits et légumes
C'est visiblement de la lacto-fermentation. Il ne s'agit donc pas d'éviter la fermentation, mais de la diriger correctement. Ne le fait pas dans des bocaux de confiture. Pour la réussite de ces conserves, il faut absolument un étanchéité à l'air que ces bocaux n'assurent pas. C'est pour cela que l'article dit de mettre une couche d'huile. La fermentation lactique est anaérobie. Les bocaux à joint caoutchouc sont parfaits pour cela.
pvo12- Membre
-
Nombre de messages : 192
Date d'inscription : 04/11/2016
Re: Conservation fruits et légumes
Pas de problème, je ferais donc ça dans des bocaux à joint caoutchouc, ça tombe bien j'en ai un petit stock que j'utilise normalement pour faire des pâtés de viande.
phyvette- Membre Premium
-
Nombre de messages : 816
Date d'inscription : 04/12/2006
Re: Conservation fruits et légumes
Bonjour a tous,
Il y a fort longtemps pour ne pas perdre la fin de récolte de tomates (les vertes qui ne muriront jamais sur pieds)
Nous les avions stockées emballées une par une dans du papier journal et placées dans un placard dans un carton solide.
Très bonne conservation jusqu’à Noël
C'est le bon moment avant le gel pour tenter l'opération.
Gé
Il y a fort longtemps pour ne pas perdre la fin de récolte de tomates (les vertes qui ne muriront jamais sur pieds)
Nous les avions stockées emballées une par une dans du papier journal et placées dans un placard dans un carton solide.
Très bonne conservation jusqu’à Noël

C'est le bon moment avant le gel pour tenter l'opération.
Gé
moulino51- Membre
-
Nombre de messages : 172
Age : 76
Localisation : Région de Reims
Date d'inscription : 23/09/2018
Re: Conservation fruits et légumes
pour la lacto fermentation il faut des couvercle qui laissent les gaz de fermentation sortir et interdisent l'entrée d'air.
ideal : bocaux a caoutchouc pour stérilisation
pensez a mettre vos boco dans une assiette ou une soucoupe (perso : bac rectangulaire pour eau de jardinière qui peut contenir plusieurs boco ) car il y a un risque que ça déborder en cours de travail (pas de crainte c'est normal)
ideal : bocaux a caoutchouc pour stérilisation
pensez a mettre vos boco dans une assiette ou une soucoupe (perso : bac rectangulaire pour eau de jardinière qui peut contenir plusieurs boco ) car il y a un risque que ça déborder en cours de travail (pas de crainte c'est normal)
a2pir- Membre
-
Nombre de messages : 170
Age : 61
Localisation : bretagne / 35
Date d'inscription : 09/04/2013
Re: Conservation fruits et légumes
je confirme , c'est de la lactofermentation
mettre 10% de sel, de préférence du gros sel bien gras, sans additifs
de l'eau non chlorée
et les deux premières semaines laisser échapper le co2 puis après une couche d'huile pou fermer le bocal
plus d'info sur le bloc ni cru ni cuit
mettre 10% de sel, de préférence du gros sel bien gras, sans additifs
de l'eau non chlorée
et les deux premières semaines laisser échapper le co2 puis après une couche d'huile pou fermer le bocal
plus d'info sur le bloc ni cru ni cuit
JCC- Membre Premium
-
Nombre de messages : 222
Emploi : retraite
Loisirs : botanique, cuisine , petit élevage
Date d'inscription : 07/06/2015
Re: Conservation fruits et légumes
Si l'eau est chlorée, laisser un quart d'heure à l'air libre. Le chlore s'évapore assez vite.
pvo12- Membre
-
Nombre de messages : 192
Date d'inscription : 04/11/2016
Re: Conservation fruits et légumes
Salut,
Stratégies alimentaires dans les Andes
https://journals.openedition.org/jda/2670#tocto1n2
L'art de conserver et de stocker
[...]
8 Une caractéristique de la culture andine a toujours été de conserver et d'accumuler la production le plus longtemps possible. Dans le cas de l'alimentation, la conservation et le stockage des comestibles ont suivi ce principe.
Les méthodes de conservation dépendaient des conditions géographiques afin de profiter des variations climatiques tout au long de l'année.
Les différentes manières de conserver et de stocker, aujourd'hui utilisées par les Indiens, ont des origines très anciennes et ont été pratiquées sans aucun doute avant la période inca.
Elles peuvent être divisées en quatre catégories :
1) la déshydratation, qui peut se faire par congélation ou par assèchement ; salaison et assèchement ; assèchement par le soleil ou par aération.
2) la cuisson : cuisson et assèchement ; cuisson et congélation ; cuisson, refroidissement et recuisson.
3) cuisson au gril et réduction pour fabriquer des farines.
4) la réduction pour obtenir des liquides stables.
9 L'un des produits traditionnels obtenus par la déshydratation des pommes de terres est le chuño.
On le fabrique actuellement au cours des mois d'hiver, pendant les nuits de lune, lorsque la température descend jusqu'à -10˚C. Les femmes préparent un endroit plat qu'elles recouvrent avec de la paille ou des roseaux secs.
Par dessus elles disposent une couche de très petites pommes de terre. Avec le gel intense de la nuit les pommes de terre se congèlent. Le lendemain matin profitant de ce que les pommes de terre sont encore dures et congelées, les femmes les foulent de leurs pieds nus. Elles les pèlent ainsi facilement, et elles en extirpent une partie de leur contenu en eau.
Elles répètent cela pendant 6 à 10 jours, jusqu'à ce que les pommes de terre soient sèches, presque noires et qu'elles émettent le son d'une pierre lorsqu'on les cogne entre elles.
Elles peuvent être gardées ainsi pendant 20 ans, ce qui montre que l'économie du paysan andin dans certains secteurs est une économie de subsistance planifiée tout en étant abondante. Le produit ainsi traité est sec, dur, intact et peut être gardé sans fumigation. Le chuño, malgré sa perte en vitamine C, garde sa valeur nutritive.
10 Une autre méthode utilisée pour conserver la pomme de terre produit la moraya, moray ou tunta : on laisse les pommes de terre pendant environ 20 jours dans un récipient avec de l'eau, que l'on change de temps en temps et ensuite on les sèche au soleil jusqu'à obtenir leur complète déshydratation.
Ces pommes de terre ainsi conservées sont blanches, et ont un goût bien meilleur que le chuño.
De la même manière qu'ils conservaient le chuño et la moraya, les paysans andins conservaient aussi l'oxalide tubéreuse mais ce tubercule ne peut être transformé que d'une seule façon : après être resté au soleil pendant une semaine, il acquiert un goût assez sucré. Cette préparation de l'oxalide tubéreuse est dite kaya.
11 La viande est aussi conservée traditionnellement en la séchant au soleil, coupée au préalable en tranches fines. La viande fraîche qu'on voulait garder peu de temps était séchée sans sel ; pour une conservation plus longue, elle était salée convenablement des deux côtés. Les tranches salées étaient étendues au soleil pendant 6 à 8 jours jusqu'à ce qu'elles deviennent sèches et dures. La viande sèche sans os s'appelle charqui ; avec les os elle se nomme chalona. Il est nécessaire de la tremper dans l'eau avant de la cuisiner.
De nombreux aliments ont été conservés par séchage au soleil.
Certains, comme le piment, sont laissés simplement à l'air. La déshydratation artificielle a aussi été employée lorsque les céréales étaient grillées au feu, ou pour réduire le volume, diminuer le poids et obtenir un produit prêt à l'emploi. De nombreux légumes et céréales étaient tranformés en farines, avec lesquelles on préparait des aliments comme la allpa, la mashca, le sancu, qui étaient tous facilement utilisables et transportables, l'avantage étant qu'ils pouvaient se conserver longtemps.
12 Il y a deux manières de stocker les produits alimentaires, les collcas (dépôts ou greniers) et les pirhuas (dépôts domestiques).
Dans les premiers, surtout à la période préhispanique, on stockait de grandes quantités de toutes sortes de produits comestibles réservés à la classe gouvernante, prêtres, militaires et dans de très rares cas pour le peuple. Aujourd'hui, les dépôts moins grands, les pirhuas, se trouvent à l'intérieur des maisons et sont faits de tiges et de roseaux. Les aliments étaient aussi placés sous les toits de paille et dans des coins ou de grands dépôts en grès, enterrés dans la terre ou dans le sable. On les gardait aussi au cœur d'énormes ballots de laine et de pots en grès bien couverts qui contenaient les aliments nécessaires pour assurer la nourriture familiale pendant un an. Dans la montagne, des herbes aromatiques étaient utilisées pour la préservation des aliments.
13 Les produits stockés les plus importants sont le quinoa (Chenopodium quinoa)et le maïs (Zea mayz).Le quinoa (kiuna ou hupa) est cultivé entre 2 000 et 4 000 m. Considéré comme une céréale, il est très apprécié par la population des Andes. Il est indispensable au régime quotidien : vue son importance pour la nutrition humaine, il a été comparé à la protéine animale et au lait. On le considère comme supérieur au blé, au riz, au maïs ou à l'orge. En tant qu'élément nutritif il apporte un haut pourcentage de protéines, de calcium, de nitrogène, fer et vitamine B. Sa protéine possède une grande qualité grâce à ses acides aminés particuliers. Le quinoa cuit est employé comme céréale dans des soupes, ragoûts et pâtisseries.
La feuille du quinoa, utilisée comme légume pour l'alimentation humaine, apporte plus de protéines que d'autres espèces horticoles tels le céleri, le cresson, le chou-fleur et les épinards.
Le maïs (sara ou t'on'ko), céréale de valeur, est « le pain américain ». Son grain riche en hydrates de carbone est comestible depuis son état tendre (choclo) jusqu'à ce qu'il soit mûr. Hautement digeste, il entre dans la composition de tout type de plats et dans la préparation de plusieurs boissons. Il est considéré par toutes les communautés indigènes comme un aliment et un élément rituel ou médicinal important.
Stratégies alimentaires dans les Andes
https://journals.openedition.org/jda/2670#tocto1n2
L'art de conserver et de stocker
Quoique confinés par la société dominante dans le rôle de petits producteurs d'aliments et de matières premières, les Indiens des Andes développent des stratégies pour planifier leur survie et reproduire leurs pratiques culturelles et productives. Après avoir présenté les techniques de stockage permettant la conservation des produits agricoles,
[...]
8 Une caractéristique de la culture andine a toujours été de conserver et d'accumuler la production le plus longtemps possible. Dans le cas de l'alimentation, la conservation et le stockage des comestibles ont suivi ce principe.
Les méthodes de conservation dépendaient des conditions géographiques afin de profiter des variations climatiques tout au long de l'année.
Les différentes manières de conserver et de stocker, aujourd'hui utilisées par les Indiens, ont des origines très anciennes et ont été pratiquées sans aucun doute avant la période inca.
Elles peuvent être divisées en quatre catégories :
1) la déshydratation, qui peut se faire par congélation ou par assèchement ; salaison et assèchement ; assèchement par le soleil ou par aération.
2) la cuisson : cuisson et assèchement ; cuisson et congélation ; cuisson, refroidissement et recuisson.
3) cuisson au gril et réduction pour fabriquer des farines.
4) la réduction pour obtenir des liquides stables.
9 L'un des produits traditionnels obtenus par la déshydratation des pommes de terres est le chuño.
On le fabrique actuellement au cours des mois d'hiver, pendant les nuits de lune, lorsque la température descend jusqu'à -10˚C. Les femmes préparent un endroit plat qu'elles recouvrent avec de la paille ou des roseaux secs.
Par dessus elles disposent une couche de très petites pommes de terre. Avec le gel intense de la nuit les pommes de terre se congèlent. Le lendemain matin profitant de ce que les pommes de terre sont encore dures et congelées, les femmes les foulent de leurs pieds nus. Elles les pèlent ainsi facilement, et elles en extirpent une partie de leur contenu en eau.
Elles répètent cela pendant 6 à 10 jours, jusqu'à ce que les pommes de terre soient sèches, presque noires et qu'elles émettent le son d'une pierre lorsqu'on les cogne entre elles.
Elles peuvent être gardées ainsi pendant 20 ans, ce qui montre que l'économie du paysan andin dans certains secteurs est une économie de subsistance planifiée tout en étant abondante. Le produit ainsi traité est sec, dur, intact et peut être gardé sans fumigation. Le chuño, malgré sa perte en vitamine C, garde sa valeur nutritive.
10 Une autre méthode utilisée pour conserver la pomme de terre produit la moraya, moray ou tunta : on laisse les pommes de terre pendant environ 20 jours dans un récipient avec de l'eau, que l'on change de temps en temps et ensuite on les sèche au soleil jusqu'à obtenir leur complète déshydratation.
Ces pommes de terre ainsi conservées sont blanches, et ont un goût bien meilleur que le chuño.
De la même manière qu'ils conservaient le chuño et la moraya, les paysans andins conservaient aussi l'oxalide tubéreuse mais ce tubercule ne peut être transformé que d'une seule façon : après être resté au soleil pendant une semaine, il acquiert un goût assez sucré. Cette préparation de l'oxalide tubéreuse est dite kaya.
11 La viande est aussi conservée traditionnellement en la séchant au soleil, coupée au préalable en tranches fines. La viande fraîche qu'on voulait garder peu de temps était séchée sans sel ; pour une conservation plus longue, elle était salée convenablement des deux côtés. Les tranches salées étaient étendues au soleil pendant 6 à 8 jours jusqu'à ce qu'elles deviennent sèches et dures. La viande sèche sans os s'appelle charqui ; avec les os elle se nomme chalona. Il est nécessaire de la tremper dans l'eau avant de la cuisiner.
De nombreux aliments ont été conservés par séchage au soleil.
Certains, comme le piment, sont laissés simplement à l'air. La déshydratation artificielle a aussi été employée lorsque les céréales étaient grillées au feu, ou pour réduire le volume, diminuer le poids et obtenir un produit prêt à l'emploi. De nombreux légumes et céréales étaient tranformés en farines, avec lesquelles on préparait des aliments comme la allpa, la mashca, le sancu, qui étaient tous facilement utilisables et transportables, l'avantage étant qu'ils pouvaient se conserver longtemps.
12 Il y a deux manières de stocker les produits alimentaires, les collcas (dépôts ou greniers) et les pirhuas (dépôts domestiques).
Dans les premiers, surtout à la période préhispanique, on stockait de grandes quantités de toutes sortes de produits comestibles réservés à la classe gouvernante, prêtres, militaires et dans de très rares cas pour le peuple. Aujourd'hui, les dépôts moins grands, les pirhuas, se trouvent à l'intérieur des maisons et sont faits de tiges et de roseaux. Les aliments étaient aussi placés sous les toits de paille et dans des coins ou de grands dépôts en grès, enterrés dans la terre ou dans le sable. On les gardait aussi au cœur d'énormes ballots de laine et de pots en grès bien couverts qui contenaient les aliments nécessaires pour assurer la nourriture familiale pendant un an. Dans la montagne, des herbes aromatiques étaient utilisées pour la préservation des aliments.
13 Les produits stockés les plus importants sont le quinoa (Chenopodium quinoa)et le maïs (Zea mayz).Le quinoa (kiuna ou hupa) est cultivé entre 2 000 et 4 000 m. Considéré comme une céréale, il est très apprécié par la population des Andes. Il est indispensable au régime quotidien : vue son importance pour la nutrition humaine, il a été comparé à la protéine animale et au lait. On le considère comme supérieur au blé, au riz, au maïs ou à l'orge. En tant qu'élément nutritif il apporte un haut pourcentage de protéines, de calcium, de nitrogène, fer et vitamine B. Sa protéine possède une grande qualité grâce à ses acides aminés particuliers. Le quinoa cuit est employé comme céréale dans des soupes, ragoûts et pâtisseries.
La feuille du quinoa, utilisée comme légume pour l'alimentation humaine, apporte plus de protéines que d'autres espèces horticoles tels le céleri, le cresson, le chou-fleur et les épinards.
Le maïs (sara ou t'on'ko), céréale de valeur, est « le pain américain ». Son grain riche en hydrates de carbone est comestible depuis son état tendre (choclo) jusqu'à ce qu'il soit mûr. Hautement digeste, il entre dans la composition de tout type de plats et dans la préparation de plusieurs boissons. Il est considéré par toutes les communautés indigènes comme un aliment et un élément rituel ou médicinal important.
________________________________________________________
DARVO
"Ceux à qui le monde n'apparaît pas à leur goût, je leur conseille de ne pas tâcher de changer le monde mais de changer leur goût"
Re: Conservation fruits et légumes
Découvert dans "Les carnets de Julie", les poires tapées.
Conservation des poires entières.
https://www.youtube.com/watch?v=AS8CndGZ5QU
Débute à la quinzième minute.
D'autres info sur : https://www.touraineloirevalley.com/poires-tapees-rivarennes-touraine/
Conservation des poires entières.
https://www.youtube.com/watch?v=AS8CndGZ5QU
Débute à la quinzième minute.
D'autres info sur : https://www.touraineloirevalley.com/poires-tapees-rivarennes-touraine/
NonoMacbill- Membre
-
Nombre de messages : 416
Age : 63
Localisation : Yvelines
Date d'inscription : 19/10/2017
Re: Conservation fruits et légumes
...j'avais aussi vu les poires ici:
>>>"...Poires : Enlever la peau. Couper en tranches. Excellent. En Savoie, les anciens faisaient sécher des poires dans le four à pain, profitant de la chaleur résiduelle après la fournée. Cela s'appelle la « poire tapée ». II existe un gâteau qui se fait avec ces poires ainsi séchées (sorte de gratin)...."
_un post à lire & relire=
>>>"...Poires : Enlever la peau. Couper en tranches. Excellent. En Savoie, les anciens faisaient sécher des poires dans le four à pain, profitant de la chaleur résiduelle après la fournée. Cela s'appelle la « poire tapée ». II existe un gâteau qui se fait avec ces poires ainsi séchées (sorte de gratin)...."
_un post à lire & relire=
SÉCHOIR SOLAIRE OU DESHYDRATEUR SOLAIRE:...
https://www.le-projet-olduvai.com/t7246-sechoir-solaire-ou-deshydrateur-solaire
Kerkallog- Membre Premium - Participe à rendre le contenu de nos forums plus pertinent & pragmatique
-
Nombre de messages : 3128
Date d'inscription : 19/05/2012

» Déshydrater fruits et légumes....
» centrifugeuse pour fruits et légumes
» 5 fruits et légumes par jour, ça marche ?
» Conservation des légumes
» Site d'achat/troc de fruits et légumes à échelle locale.
» centrifugeuse pour fruits et légumes
» 5 fruits et légumes par jour, ça marche ?
» Conservation des légumes
» Site d'achat/troc de fruits et légumes à échelle locale.
Olduvaï :: Faire face aux situations de crise (réservé aux membres s'étant présentés) :: Cuisine & alimentation (conservation & préparation des aliments) :: Cuisine :: Conservation
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum